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Publié le jeudi 23 août 2012 - 10h25
Bien que marqué par de nombreux épisodes estivaux, le feuilleton Doux n'en est pas encore à son dénouement.
Au début de l'été, une quinzaine d'offres ont été déposées pour la reprise du groupe : jugées insuffisantes par le gouvernement, elles mettaient définitivement un terme à tout espoir de reprise globale du groupe.
La plus complète était coordonnée par Sofiprotéol, associant Duc, LDC, Terrena, Tilly-Sabco et Triskalia à sa filiale Glon Sanders. C'était sans compter avec Charles Doux lui-même, dont le contre-projet, incluant la baisse de sa participation à 20% du capital, reçut l'appui de la Barclays, de son partenaire saoudien Almunajem ainsi que des éleveurs et des élus finistériens.
Contre toute attente, c'est vers sa solution que s'est dirigé le tribunal de commerce de Quimper le 1er août. Accordant un délai pour trouver une solution aux branches grand export et produits élaborés d'ici à fin novembre, ce dernier décidait de placer Doux Frais en liquidation et ne donnait que dix jours à d'éventuels repreneurs pour se faire connaître.
Cinq offres partielles ont été présentées par Glon, Duc, Axéréal, LDC et Tallec mais n'offrent aucune issue à trois des neuf sites concernés ainsi qu'à un millier d'emplois sur les 1704 que compte la branche. Des offres que le gouvernement souhaiterait voir améliorées avant leur examen au début du mois de septembre.
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Vendredi 17 novembre 2017
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