Cacolac veut repartir de l'avant

Publié le vendredi 21 mars 2014 - 10h49

Avec leur holding Trixaim (devenue Nutrixaim depuis), Dominique Rault et Didier Giroux ont repris Cacolac en 2011 (voir RIA News n°385). L'entreprise, qui réalise 7 millions d'euros de chiffre d'affaires avec 35 salariés, dispose d'une usine construite en 2000 à Léognan, en Gironde. Avec une capacité de 80 millions de cols, elle est en mesure de quadrupler ses ventes. De quoi nourrir des ambitions de développement pour la marque qui fête ses soixante ans.

Sa commercialisation en GMS a été confiée en 2012 à la force de vente de Solinest, spécialiste des confiseries qui désirait précisément se déployer dans les boissons. Après une croissance de 15 % cette année-là, les volumes de Cacolac se sont stabilisés à 15 millions de canettes l'an dernier. Objectif 2014 : + 8 % grâce aux lancements de nouvelles saveurs (une version "praliné noisette" vient d'être lancée) et de nouveaux conditionnements.

Mais l'entreprise prévoit également de se relancer à l'export, 5 % aujourd'hui, notamment en misant sur le "made in France" désormais affiché sur les packs. Elle peut proposer la souplesse de son outil de conditionnement pour le compte d'autres marques ; elle a d'ailleurs mis au point un process spécifique au vin en canettes. Soutenue par BPIFrance, Nutrixaim détient également Balarama dans les barres alimentaires diététiques.

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Mots-clés associés : Cacolac, Nutrixaim, RIANews518, Trixaim

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